Sources de pollution atmosphérique.
Risque de pollution des sols (historique du site, bases de données Internet BASIAS et BASOL, site InfoTerre).
Evaluer le risque radon à partir de la cartographie proposée par l’IRSN. Prendre les dispositions nécessaires en cas de catégorie 2 ou 3.
A partir de l’étude géotechnique, évaluer le niveau de nappe et la nature du sol. Préconisations sur les risques de remontées capillaires, la conception des vide-sanitaires, des sous sols, etc.

Pour en savoir +

Analyse détaillée du site, Projet VIA-Qualité (ADEME, décembre 2016).

Diagnostics amiante, radon, plomb, gaz.
En cas de constat d’état parasitaire des éléments structurels à base de bois (non obligatoire à la vente) ou présence de termites (diagnostic obligatoire à la vente), le traitement est à réaliser en début de travaux par un opérateur certifié et à l’aide de produits de traitement certifiés CTB-P+.

Pour en savoir +

Rappel des règles Certibiocide sur le site Internet CAPEB (Avril 2017) Certibiocide : ce qu’il faut retenir.

Cibler les actions à mettre en place selon les caractéristiques de l’opération à l’aide de l’outil ICHAQAI.
Intégrer au Dossier de Consultation des Entreprises les éventuelles dispositions spécifiques.

Informer l’ensemble des acteurs (maîtrise d’ouvrage, maîtrise d’œuvre, bureau de contrôle, CSPS, OPC) des objectifs QAI, des rôles et responsabilités de chacun.
Eventuellement, rédiger une charte de chantier QAI.

Etablir un planning de chantier adapté, ainsi qu’un premier plan d’installation de chantier (PIC).
Le planning de chantier tient compte des temps de séchage, temps d’évacuation des polluants, mesures à réaliser à réception. Il fait apparaître les tests à réaliser (étanchéité à l’air de l’enveloppe bâti, perméabilité à l’air des réseaux aérauliques, tests d’humidité des matériaux, etc.).
Intégrer aux CCTP les exigences sur les matériaux et produits (émisisons de COV, étiquetage, écolabels, performance des équipements), mais aussi les tests et autocontrôles par corps d’état.

Tests de perméabilité à l’air de l’enveloppe bâti (intermédiaire et final), tests de perméabilité des réseaux aérauliques (intermédiaire et final), mesures de QAI à réception, mesures des débits aux bouches de ventilation, etc.

Réunion de sensibilisation au démarrage du chantier.
Réunion de mise au point du planning, du plan d’installation de chantier, et des éventuelles dispositions spécifiques en fin de phase de préparation de chantier.
Réunion de sensibilisation des entreprises de second oeuvre.
Réunion de sensibilisation des entreprises de finition.
Quarts d’heure QAI à mettre en place par les entreprises pour sensibiliser leur personnel et sous-traitants.

En présence de l’entreprise et du bureau d’étude fluides. Ces réunions doivent permettre de s’assurer : de la mise en œuvre correcte du réseau aéraulique, de l’accessibilité à l’ensemble du système de ventilation (groupes/caissons et filtres, accessibilité au réseau), du positionnement des bouches de soufflage et/ou d’extraction, du traitement adapté de l’étanchéité des réseaux aérauliques, des tests et autocontrôles à réaliser.

Faire intégrer aux DOE, DUEM, les prescriptions d’entretien et de maintenance nécessaires pour favoriser une bonne qualité de l’air intérieur.
Programmer des séances de formation en présence du futur exploitant et du gestionnaire (fonctionnement du système de ventilation, utilisation de la GTC,…).
Le cas échéant, préparer la programmation des équipements de ventilation (horaires de fonctionnement, paliers des sondes CO2, etc.).

Plaquette d’information spécifique, guide Grand’Air, etc.

Pour en savoir +

Guide Grand'Air (ADEME, 2016).

Mesures en continu sur la base de sondes de température/hygrométrie (intérieur et extérieur).
Peut permettre de procéder à une aération/ventilation de chantier/déshumidification selon les conditions d’hygrométrie rencontrées (information indicative uniquement).

Mesures en continu sur la base de capteurs (COV globaux, COV légers). Donne des indications sur les niveaux d’émissions. Peut permettre de procéder à une aération/ventilation de chantier selon les conditions rencontrées (information indicative uniquement).

Réalisation de mesures permettant de caractériser le bâti uniquement (pas d’influence du mobilier, des usages…).
Mesures à réaliser après nettoyage, après mise en route de la ventilation, après surventilation, avant la mise en place du mobilier, avant l’arrivée des occupants.
En cas de dépassement d’une ou de plusieurs valeurs guides, renouveler la surventilation et renouveler les mesures de QAI sur les composés concernés.

Pour en savoir +

Protocole HQE Performance

Rechercher la(les) source(s) d’humidité et y remédier.
Assécher le chantier si possible (recours à la déshumidification).
Si une petite surface est concernée (< 0.3 m²), mettre en application la procédure de traitement des surfaces contaminées du protocole de New-York (protection des opérateurs, éviter la production de poussières, nettoyer au savon/détergent neutre, éviter l’eau de Javel). Si les moisissures réapparaissent au bout de 7 jours, remplacer les supports contaminés.
Si une surface importante est concernée, remplacer les supports.

Pour en savoir +

Guide sur l'évaluation et l'élimination des champignons/moisissures dans les environnements intérieurs - Guidelines on Assessment and Remediation of Fungi in Indoor Environments (New York City Department of Health and Mental Hygiene, Février 2009).
Guide pratique "Moisissures dans votre logement ? Les éliminer en toute sécurité." (CSTB, 015) Guide "Contaminations fongiques en milieu intérieur - Diagnostic, effets sur la santé respiratoire, conduite à tenir" (CSHPF, 2006)

Niveau d’encrassement résiduel (poussières) défini par la norme NF EN 15780. Seuil de résidus d’huile en Finlande : 50mg/m²

Pour en savoir +

NF EN 15780 - Propreté des systèmes de ventilation

Informer les usagers.

S’assurer du respect des exigences prescrites aux CCTP sur les émissions de polluants

Pour en savoir +

Arrêté du 19 avril 2011 relatif à l'étiquetage des produits de construction.
Ecolabels (EMICODE EC1 PLUS). FDES. FDS.
Guide de la Qualité de l'Air Intérieur, FFB Pays de la Loire.

Guide Qualité de l'Air Intérieur - Enjeux et bonnes pratiques pour les métiers du bâtiment (FFB, avril 2017) - Réaliser un diagnostic simplifié de la QAI dans l'existant

Utiliser des résines, colles, primaires, ragréages, joints, etc. de classe A+ selon l’étiquetage obligatoire.
Privilégier l’EMICODE EC1 PLUS pour les colles et mortiers colles.
Utiliser des produits de traitement des bois labellisés CTB-P+ (également pour les zones coupées en cas de découpe).
Utiliser des produits d’entretien écolabellisés.
Pour les produits « annexes » (nettoyage des outil, nettoyage des mains, enlèvement des étiquettes, etc.) : prévoir des solutions alternatives (solutions écologiques en alternative aux produits solvantés).

Pour en savoir +

Arrêté du 19 avril 2011 relatif à l'étiquetage des produits de construction.
Ecolabels (EMICODE EC1 PLUS). FDES. FDS. Rappel des règles Certibiocide sur le site Internet CAPEB (Avril 2017) Certibiocide : ce qu’il faut retenir.
Guide de la Qualité de l'Air Intérieur, FFB Pays de la Loire.
Guide Qualité de l'Air Intérieur - Enjeux et bonnes pratiques pour les métiers du bâtiment (FFB, avril 2017) - Réaliser un diagnostic simplifié de la QAI dans l'existant

Pose des revêtements de finition par des procédés mécaniques
Résine d’imperméabilisation des sols : Utilisation d’une membrane en remplacement de la résine d’imperméabilisation
Peintures/vernis intumescents : prévoir un doublage coupe-feu
Primaires et peintures sur bois/métal : avoir recours à des produits avec finition en usine (huisseries, plinthes, escaliers,…).
Panneaux de bois recomposés pour les menuiseries intérieures : privilégier des panneaux de bois revêtus (avec couche de vernis/finition). Privilégier la classe E0.5.
Nettoyage – modifier les protocoles habituels : nettoyage à la vapeur, etc.

Pour en savoir +

Par exemple, dalles plombantes ou clipsage pour les revêtements de sol.

Prescriptions des fiches techniques

Prescriptions des fiches techniques/Avis techniques

A préciser sur les documents contractuels et prévoir une sensiblisation sur chantier

Pour en savoir +

Décret n° 2006-1386 du 15 novembre 2006

Revêtements de sol souple : les déballer et les dérouler avant la pose
Peintures, vernis, produits de pose : pots fermés autant que possible
Définir une zone dédiée pour la réalisation des mélanges de produits émissifs
Eviter le stockage/l’utilisation de produits « annexes » émissifs à l’intérieur du bâtiment. Par exemple : produits solvantés pour le nettoyage des mains. Prévoir un espace de stockage ventilé.
Blocs-portes/panneaux de bois : les déballer avant la pose. Attention aux panneaux de bois sans couche de finition qui sont à la fois émissifs et poreux.

Matériaux poreux = plaques de plâtre, isolants, produits d’isolation acoustique, etc. Cette solution a pour objet d’éviter les phénomènes d’adsorption-désorption.
Attention aux bois (parquets notamment) qui doivent être stockés dans l’espace où sera réalisée la mise en oeuvre (impact du taux d’hygrométrie).

Mise en place des isolants acoustiques en toute fin de chantier (après l’application des peintures et la pose des menuiseries intérieures bois) : plafonds suspendus, etc.

Prévoir une période d’évacuation des polluants

Ventilation par ouverture des fenêtres

Mise en place d’extracteurs spécifiques de chantier répartis dans le volume du bâtiment (taux de renouvellement d’air de l’ordre de 0,5 vol/h)

Protocole proposé par la certification LEED sur la base d’un volume global de 4267m3/m² SP, à réaliser avant et/ou pendant l’occupation du bâtiment (à une température minimum de 15,5°C et un taux d’humidité inférieur à 60%).

Pour en savoir +

U.G.B. Council, Leadership in energy and environmental design (LEED), 2001.

Zone dédiée, éloignée des éléments du système de ventilation définitif.
Vigilance sur le risque de dispersion des particules et fibres (éventuellement, isoler la zone de découpes par des bâches).

Risque de production de fumées contenant des poussières chargés en gaz et métaux lourd.
En cas d’impossibilité, prévoir des dispositifs adaptés d’extraction des fumées.

Pour en savoir +

Opérations de soudage à l'arc et de coupage - Guide pratique de ventilation (INRS, juillet 2010).

Découpes gros œuvre, rabotage des portes…

Faire appel à un organisme spécialisé pouvant identifier les matériaux en fonction des données disponibles et repérer visuellement les matériaux dégradés en contact avec l’air intérieur.

Pour en savoir +

Guide Qualité de l'Air Intérieur - Enjeux et bonnes pratiques pour les métiers du bâtiment (FFB, avril 2017) - Réaliser un diagnostic simplifié de la QAI dans l'existant

Mesure des émissions des produits de construction sur site, de manière non destructive, par exemple, avec une cellule d’essai d’émission.

Mettre en place des barrières étanches du sol jusqu’au plafond du local afin d’éviter le transfert de poussières ou de contaminants chimiques.

Mettre en place un circuit d’acheminement des gravats adapté. Si nécessaire, prévoir la mise en place de barrières étanches.

Privilégier les outils mécaniques (éviter le décapage chimique, attention toutefois au risque de présence d’amiante). Si des produits doivent être utilisés, avoir recours à des produits éco-labellisés.
Dans le cas où des décapeurs thermiques seraient utilisés, une aération ou ventilation adéquate des locaux est absolument nécessaire (gestion du risque d’exposition des travailleurs au monoxyde de carbone).

Evite le recours ultérieur à des produits de finition solvantés permettant d’assurer l’adhérence au support.

Vérifier le taux d’humidité des supports à l’aide d’un humidimètre.

Pour en savoir +

Guide Qualité de l'Air Intérieur (FFB, avril 2017).
Guide de la Qualité de l'Air Intérieur en phase travaux (FFB et CAPEB Pays de la Loire, octobre 2014).

Se référer aux instructions du fournisseur, Avis Techniques et certification pour compatibilité des produits.

Protéger le mobilier afin d’éviter l’adsorption de contaminants chimiques. Deux solutions sont possibles :
– stocker le mobilier en dehors de la zone de travaux,
– mettre le mobilier sous emballage plastique le temps des travaux.

Protéger les matériaux poreux afin d’éviter l’adsorption de contaminants chimiques.

Rechercher la(les) source(s) d’humidité et y remédier.
Si une petite surface est concernée (< 0.3 m²), mettre en application la procédure de traitement des surfaces contaminées du protocole de New-York (protection des opérateurs, éviter la production de poussières, nettoyer au savon/détergent neutre, éviter l’eau de Javel). Si les moisissures réapparaissent au bout de 7 jours, remplacer les supports contaminés.
Si une surface importante est concernée, remplacer les supports.

Pour en savoir +

Guide sur l'évaluation et l'élimination des champignons/moisissures dans les environnements intérieurs - Guidelines on Assessment and Remediation of Fungi in Indoor Environments (New York City Department of Health and Mental Hygiene, Février 2009).
Guide pratique "Moisissures dans votre logement ? Les éliminer en toute sécurité." (CSTB, 015)
Guide "Contaminations fongiques en milieu intérieur - Diagnostic, effets sur la santé respiratoire, conduite à tenir" (CSHPF, 2006)

Aspiration avec des équipements adaptés à réaliser avant les travaux de finition et avant la livraison.
Utiliser des aspirateurs avec filtre à très haute efficacité.

Le plus tôt possible

Réalisation de l’étanchéité de toiture et mise en œuvre des couvertines avant le hors d’eau/hors d’air.
Traitement des chutes d’eaux pluviales/entrées de réseau avant le hors d’eau/hors d’air.
Traitement de l’étanchéité des menuiseries extérieures.
Réalisation des enduits extérieurs des façades en maçonnerie avant les travaux de plâtrerie : contre-cloisons, doublages.
Calfeutrement des traversées de l’enveloppe (canalisations …).

Pour en savoir +

Rapport thématique AQC - Humidité dans la construction - 12 enseignements à connaître (AQC, décembre 2016)
DTU 25.41

Surface d’un béton traditionnel : environ une semaine par centimètre
Enduits plâtre : 24h pour 1cm d’épaisseur, à 20°C et hygrométrie ≤ 60%
Biosourcés en filière humide (béton de chanvre, ouate, terre/paille).

Pour en savoir +

Béton : NF EN 206

Chapes ciment : DTU 26.2 et Avis Technique/recommandations du fabricant.
Chapes fluides ciment : voir CPT 3774_V2 et Avis Technique. Le CPT indique que l’aération du local conditionne le séchage de la chape : cette opération est possible dès 24 ou 72 heures après le coulage selon les dispositions du Document Technique d’Application. Sauf à pouvoir procéder à une aération du local, l’utilisation d’un déshumidificateur doit être envisagée dès 4 jours après le coulage de la chape. Par ailleurs, l’évacuation de l’humidité est accélérée :
– par la mise en service du chauffage du local,
– en évitant le stockage sur la chape d’éléments pouvant bloquer l’humidité.

Pour en savoir +

Chapes ciment : DTU 26.2
Chapes fluides ciment : CPT 3774_V2
DTU 25.41 : n’indique pas de temps de séchage mais attire l’attention sur la reprise d’humidité lors de la réalisation des chapes. Il propose également une protection des pieds des ouvrages en plaques de plâtre en fonction de la classification des locaux humides et de la pose avant ou après chape.

Le taux d’humidité résiduel d’un support à base de liant hydraulique (à une profondeur minimum de 4 cm), doit être mesuré à l’aide d’une bombe à carbure. Ce taux doit être ≤ à 4,5% en poids.
Pour l’application de peinture sur béton, le DTU demande une mesure du taux d’humidité à cœur du subjectile béton (maximum de 5% en masse avant la mise en peinture).
Contrôler les taux d’humidité des bois de structure et panneaux de bois avant mise en oeuvre de la membrane ou paroi étanche à l’air.

Pour en savoir +

Revêtement de sol (béton, planchers, chapes et dalles, escaliers, en bois) : DTU 53.2 Annexe A
Avis techniques des produits de revêtements de sol
Lot Peinture : DTU 59.1 Ossature Bois : DTU 31-1 «Charpente et escaliers en bois » et 31-2. « Construction de maisons et bâtiments à ossature en bois » , à l’aide d’un hygromètre à pointes.

Identifier le comportement hygrothermique de chacune des parois.
Réaliser un calcul du point de rosée dans le cas d’une conception de paroi n’entrant pas dans le cadre d’un DTU.

Pour en savoir +

Rapport thématique AQC - Humidité dans la construction - 12 enseignements à connaître (AQC, décembre 2016)
Perméance des façades à la vapeur d'eau (Plaquette AQC "Perméance des façades à la vapeur d'eau" - 2009)

Les ponts thermiques et les défauts d’étanchéité constituent des points fragiles vis-à-vis de la condensation et font souvent l’objet de développement de moisissures.

Pour en savoir +

Rapport thématique AQC - Humidité dans la construction - 12 enseignements à connaître (AQC, décembre 2016)

Matériaux concernés : isolants, plaques de plâtre, bois, panneaux de bois, OSB, etc.
Prévoir des zones dédiées à l’abri des intempéries.
Conserver les matériaux sous leur emballage plastique jusqu’à leur utilisation (mais attention, en cas d’emballages non percés uniquement).
Stockage sur palette pour éviter tout contact avec le sol.

Prévoir une protection par bâches des murs ossature bois.
Stockage permetttant d’éviter tout contact avec le sol.

Protéger immédiatement un isolant lors de sa mise en œuvre en extérieur (pare-pluie ou bardage).
S’assurer que le support est sec avant la mise en œuvre d’un pare pluie.
Conserver une lame d’air entre l’enveloppe et l’isolant.

Par exemple, plaques de plâtre, menuiseries intérieures bois : prévoir une protection contre la reprise d’humidité.

Pour en savoir +

Protection contre la reprise d’humidité des menuiseries bois : NF P 23-305, NF DTU 36.5 P1-1
DTU 25.41 : propose une protection des pieds des ouvrages en plaques de plâtre en fonction de la classification des locaux humides et de la pose avant ou après chape.
Eviter l'humidité relative critique de divers groupes de matériaux (Johanson et al 2005 - OMS 2009) : bois et produits dérivées, carton sur plaque de plâtre, matériaux minéraux d'isolation, polystyrène expansé et extrudé, béton.

Ventilation par ouverture des fenêtres

Mise en place d’extracteurs répartis dans le volume du bâtiment (taux de renouvellement d’air de l’ordre de 0,5 vol/h)

Mise en place de chauffages soufflants répartis dans le volume du bâtiment

Mise en place de déshumidificateurs répartis dans le volume du bâtiment

Présence ou non de moisissures visibles.
Rupture de canalisations (eaux usées, eaux grises, eau potable), gouttières percées.
Remontées capillaires dans les murs. Perturbations en toiture : poussières accumulées, longueur de l’avant toit insuffisante, risque d’eaux stagnantes, etc.
Caractérisation et état des vides sanitaires, caves.

Pour en savoir +

Rapport thématique AQC - Humidité dans la construction - 12 enseignements à connaître (AQC, décembre 2016)
Guide Qualité de l'Air Intérieur - Enjeux et bonnes pratiques pour les métiers du bâtiment (FFB, avril 2017) - Réaliser un diagnostic simplifié de la QAI dans l'existant

Identifier le comportement hygrothermique de la paroi :
– vérifier si l’isolant est perméable à la vapeur d’eau
– recouvrir d’un enduit perméable à la vapeur d’eau ou d’un bardage ventilé.
Réaliser un calcul du point de rosée.

Pour en savoir +

Rapport thématique AQC - Humidité dans la construction - 12 enseignements à connaître (AQC, décembre 2016)
Murs anciens : comment isoler en prévenant les risques liés à l'humidité ? (Article Qualité Construction N°147 - novembre/décembre 2014 pp 43-46)
Perméance des façades à la vapeur d'eau (Plaquette AQC "Perméance des façades à la vapeur d'eau" - 2009)
NF EN 13914-1 : Conception, préparation et mise en œuvre des enduits extérieurs

Conserver les équipements sous emballage plastique et sur palette jusqu’à leur mise en œuvre. Aspirer les diffuseurs et grilles avant leur mise en place. Filtres non exposés à plus de 90% d’humidité (NF EN 779 ou ISO 16890-1).

Pour en savoir +

Filtres à air de ventilation générale pour l'élimination des particules - Détermination des performances de filtration: NF EN 779
NF EN 15780 "Propreté des systèmes de ventilation"

En cas de double flux, à prévoir en priorité pour les réseaux d’insufflation et si possible pour les réseaux d’extraction :
– en cas de mise à l’arrêt du système de ventilation, risque de refoulement des poussières,
– réduction de la section entrainant d’éventuelles pertes de charge.

Pour en savoir +

RSDT
NF EN 15780 - Propreté des systèmes de ventilation

A proposer si possible en cas de simple flux :
– en cas de mise à l’arrêt du système de ventilation, risque de refoulement des poussières.
– réduction de la section entrainant d’éventuelles pertes de charge.

Pour en savoir +

RSDT
NF EN 15780 - Propreté des systèmes de ventilation

En cas de double flux, à prévoir en priorité pour les réseaux d’insufflation et si possible pour les réseaux d’extraction :
– définir des zones dédiées à l’abri des poussières et de l’humidité,
– maintenir l’ensemble des réseaux et bouches sous film plastique et éviter les risques de déformation,
– si nécessaire, dépoussiérer les conduits avant leur mise en oeuvre,
– protéger l’embout des réseaux aérauliques une fois posés (par bouchon ou film plastique).

Pour en savoir +

RSDT
NF EN 15780 - Propreté des systèmes de ventilation

A proposer si possible en cas de simple flux :
– définir des zones dédiées à l’abri des poussières et de l’humidité,
– maintenir l’ensemble des réseaux et bouches sous film plastique et éviter les risques de déformation,
– si nécessaire, dépoussiérer les conduits avant leur mise en oeuvre,
– protéger l’embout des réseaux aérauliques une fois posés (par bouchon ou film plastique).

Pour en savoir +

RSDT
NF EN 15780 - Propreté des systèmes de ventilation

Permet de faciliter l’entretien ultérieur des réseaux.
Réseaux primaires a minima et réseaux d’insufflation en priorité.

A proposer si possible en cas de simple flux (facilite l’entretien des réseaux) :
– en cas de mise à l’arrêt du système de ventilation, risque de refoulement des poussières.
– réduction de la section entrainant d’éventuelles pertes de charge.

Evite les angles propices à l’accumulation de poussières et facilite l’entretien ultérieur des réseaux.
Réseaux primaires a minima et réseaux d’insufflation en priorité.

A proposer si possible en cas de simple flux (facilite l’entretien des réseaux) :
– en cas de mise à l’arrêt du système de ventilation, risque de refoulement des poussières.
– réduction de la section entrainant d’éventuelles pertes de charge.

Notamment en cas de VMC hygroréglable.

Pour en savoir +

Se référer aux avis techniques des fabricants.

Equipements accessibles
Mise en place de trappes d’accès selon les exigences de la norme NF EN 12097

Pour en savoir +

Norme NF EN 12097 DTU 68.3 (Résidentiel uniquement)
PROMEVENT - Guide d'accompagnement du protocole Promevent (ADEME, décembre 2016) - Vérifications fonctionnelles

Eviter les points bas et les risques d’écrasement.
Isoler les réseaux en cas de passage dans un espace non chauffé (R ≥ 0,6 m².°C/W selon DTU 68.3)
Eviter les changements brusques de sections de réseaux, et limiter le nombre de coudes. En cas de double flux, s’assurer de l’évacuation des condensats au niveau de l’échangeur.
Vérifier le positionnement des prises d’air neuf et des extractions d’air.

Pour en savoir +

PROMEVENT - Guide d'accompagnement du protocole Promevent (ADEME, décembre 2016)

Primordial en cas de double flux.
Utiliser une technique d’assemblage des pièces du réseau aéraulique adaptée (interdiction des vis, sertissage accepté, conduits à double lèvre à privilégier) .

Pour en savoir +

Guide Étanchéité des Réseaux Aérauliques (CETIAT, juin 2012)
PROMEVENT - Guide d'accompagnement du protocole Promevent (ADEME, décembre 2016) - Vérifications fonctionnelles

En simple flux, impacte la performance du système de ventilation (consommations énergétiques, nuisances sonores).
Utiliser une technique d’assemblage des pièces du réseau aéraulique adaptée (interdiction des vis, sertissage accepté, conduits à double lèvre à privilégier) .

Pour en savoir +

Guide Étanchéité des Réseaux Aérauliques (CETIAT, juin 2012)
PROMEVENT - Guide d'accompagnement du protocole Promevent (ADEME, décembre 2016) - Vérifications fonctionnelles

Vérifier en cours de chantier l’atteinte de l’objectif de perméabilité à l’air fixé en phase d’études par le maître d’ouvrage/l’équipe de conception

Pour en savoir +

Guide Étanchéité des Réseaux Aérauliques (CETIAT, juin 2012)
PROMEVENT - Guide d'accompagnement du protocole Promevent (ADEME, décembre 2016) - Mesures de perméabilité à l'air des réseaux de ventilation FD E 51-767

En simple flux, impacte la performance du système de ventilation (consommations énergétiques, nuisances sonores).
Vérifier en cours de chantier l’atteinte de l’objectif de perméabilité à l’air fixé en phase d’études par le maître d’ouvrage/l’équipe de conception

Pour en savoir +

Guide Étanchéité des Réseaux Aérauliques (CETIAT, juin 2012)
PROMEVENT - Guide d'accompagnement du protocole Promevent (ADEME, décembre 2016) - Mesures de perméabilité à l'air des réseaux de ventilation FD E 51-767

Procédés de désolidarisation (plots anti-vbratils), etc.
Proscrire l’utilisation de laine minérale non revêtue à l’intérieur des gaines.
Bonnes pratiques : tissus à la sortie de caisson, cartouches acoustiques, textiles, etc.

Pour en savoir +

PROMEVENT - Guide d'accompagnement du protocole Promevent (ADEME, décembre 2016) - Vérifications fonctionnelles
Rénovation énergétique, confort acoustique et qualité de l'air en habitat individuel - Les fondements d'une intervention équilibrée - Guide technique et opérationnel (ADEME)

En double flux : vigilance sur le positionnement des bouches de soufflage et d’extraction.
Vérifier le détalonnage des portes ou les caractéristiques des grilles de transfert.

Pour en savoir +

Détalonnage des portes : DTU 68.1 2 cm sur toute la longueur de la porte de la cuisine, si la cuisine n’est desservie que par une seule porte ; 1 cm sur toute la longueur de la porte dans tous les autres cas de portes intérieures.
PROMEVENT - Guide d'accompagnement du protocole Promevent (ADEME, décembre 2016) - Vérifications fonctionnelles

Vérifier la compatibilité des équipements entre eux (notamment système de chauffage/système de ventilation, appareil à combustion et conduit de fumée)
Assurer l’étanchéité à l’air du circuit de combustion des appareils.
Assurer l’apport d’air extérieur direct dans le foyer de combustion.
Mettre en place une extraction des gaz de combustion en toiture (vérifier la zone de débouché).
S’assurer du bon dimensionnement et de la bonne mise en oeuvre du conduit de fumée.

Pour en savoir +

Guide Qualité de l'Air Intérieur (FFB, avril 2017).
Guide de la Qualité de l'Air Intérieur en phase travaux (FFB et CAPEB Pays de la Loire, octobre 2014).

S’assurer de la compatibilité des différents éléments entre eux.
Dispositifs de récupération et d’évacuation des condensats en partie basse des éléments où il peut il y avoir condensation (évaporateurs, batteries froides, récupérateurs de chaleur…).
Calorifuge au niveau des conduits hors espace chauffé.

Pour en savoir +

Guide Qualité de l'Air Intérieur (FFB, avril 2017).
Guide de la Qualité de l'Air Intérieur en phase travaux (FFB et CAPEB Pays de la Loire, octobre 2014).

Mise en œuvre de la prise d’air conforme à la conception et selon les règles de l’art (plus de 1 mètre au-dessus du sol)
Conformité du filtre (G4 a minima)
Matériaux rigides à résistance mécanique et fongique élevée, à faibles émissions de COV
Surfaces intérieures lisses
Pente de 2 à 3%
Etanchéité du réseau suivant la norme NF EN ISO 1610
Evacuation des condensats prévue avec pompe de relevage
Accessibilité à la totalité du système

Pour en savoir +

Guide RAGE 2015 - Puits climatiques - Conception et dimensionnement.
Puits canadiens/provençaux : guide d'information. CETIAT, 2008.

Se référer aux protocoles PROMEVENT (résidentiel) ou DIAGVENT (autres bâtiments).
Contrôler le bon fonctionnement des organes de régulation (sondes CO2, sondes COV, programmation des horaires, automates…).

Pour en savoir +

PROMEVENT - Guide d'accompagnement du protocole Promevent (ADEME, décembre 2016) - Pré-inspection et vérifications fonctionnelles.
DIAGVENT - Guide pratique pour le diagnostic des installations de ventilation dans les bâtiments résidentiels et tertiaires (ADEME, CETIAT, 2005).
Guide de bonnes pratiques des mesures de débits d'air sur site pour les installations de ventilation (ALDES, CETIAT et CIAT, 2013).

Vérifier la conformité des débits aux exigences réglementaires et au CCTP.
Se référer aux protocoles PROMEVENT (résidentiel) ou DIAGVENT (autres bâtiments).

Pour en savoir +

PROMEVENT - Guide d'accompagnement du protocole Promevent (ADEME, décembre 2016) - Pré-inspection et vérifications fonctionnelles.
DIAGVENT - Guide pratique pour le diagnostic des installations de ventilation dans les bâtiments résidentiels et tertiaires (ADEME, CETIAT, 2005).
Guide de bonnes pratiques des mesures de débits d'air sur site pour les installations de ventilation (ALDES, CETIAT et CIAT, 2013).

En cas de double flux ou système par insufflation.

Identifier les éléments qui participent au renouvellement d’air hygiénique :
– Entrées d’air neufs (menuiseries notamment),
– Systèmes de transfert : grilles de transfert acoustiques, détalonnage des portes,
– Bouches et grilles de ventilation,
– Réseaux,
– Caissons, VMC, CTA.

Pour en savoir +

Livret d'installation à destination des entreprises et artisans de la ventilation, projet VIA Qualité (ADEME, 2016).
Fiche qualité réglementaire : Autocontrôle du système de ventilation, quelques conseils - AQC. Fiche technique ADEME "La ventilation double flux dans les bâtiments individuels" - 2013.
Plaquette AQC "La VMC simple flux en maison individuelle" (AQC, 2012).
Plaquette AQC "La VMC double flux en maison individuelle" (AQC, 2010).
Article Qualité Construction N°112 - janvier/février 2009 pp 31-36 "Mieux ventiler dans l'existant : méthodologie et diagnostic". Guide de la rénovation performante par étape (AQC, Octobre 2015).
Recommandations professionnelles RAGE. VMC simple flux en rénovation - habitat collectif (Guide RAGE, février 2013).
Recommandations professionnelles RAGE. VMC simple flux en rénovation - habitat individuel (Guide RAGE, février 2013).
Guide RAGE. VMC double flux dans le neuf - habitat collectif (Guide RAGE, mai 2015).
Guide RAGE. VMC double flux dans le neuf - habitat individuel (Guide RAGE, mai 2015).
Recommandations Professionnelles RAGE . Ventilation Mécanique Répartie en rénovation - habitats collectif et individuel (Guide RAGE, juin 2014).
Guide Changement de fenêtres et ventilation (FFB, 2016).

Vérifier l’étanchéité des orifices d’évacuation des appareils.
Identifier et vérifier les amenées d’air dédiées specifiquement aux appareils de combustion.

Pour en savoir +

DTU 24.1 : Travaux de batiments - travaux de fumisterie - systèmes d'evacuation des produits de combustion desservant un ou des appareils.
Guide Qualité de l'Air Intérieur (FFB, avril 2017).
Guide de la rénovation performante par étape (AQC, Octobre 2015).
Guide de la Qualité de l'Air Intérieur en phase travaux (FFB et CAPEB Pays de la Loire, octobre 2014).
Guide Changement de fenêtres et ventilation (FFB, 2016).

S’assurer du bon fonctionnement de l’installation de ventilation existante

Pour en savoir +

PROMEVENT - Protocole de Diagnostic des installations de ventilation mécanique résidentielles (ADEME, octobre 2016).
PROMEVENT - Guide d'accompagnement du protocole Promevent (ADEME, décembre 2016).
DIAGVENT - Guide pratique pour le diagnostic des installations de ventilation dans les bâtiments résidentiels et tertiaires (ADEME, CETIAT, 2005).
Guide de bonnes pratiques des mesures de débits d'air sur site pour les installations de ventilation (ALDES, CETIAT et CIAT, 2013).

Vérifier la conformité des débits aux exigences réglementaires (selon les résultats, peut nécessiter des interventions ultérieures).
Se référer aux protocoles PROMEVENT (résidentiel) ou DIAGVENT (autres bâtiments).

Pour en savoir +

PROMEVENT - Protocole de Diagnostic des installations de ventilation mécanique résidentielles (ADEME, octobre 2016).
PROMEVENT - Guide d'accompagnement du protocole Promevent (ADEME, décembre 2016).
DIAGVENT - Guide pratique pour le diagnostic des installations de ventilation dans les bâtiments résidentiels et tertiaires (ADEME, CETIAT, 2005).
Guide de bonnes pratiques des mesures de débits d'air sur site pour les installations de ventilation (ALDES, CETIAT et CIAT, 2013).

Evaluer le niveau de perméabilité à l’air du réseau de ventilation existant (selon les résultats, peut permettre de déterminer les actions correctives à réaliser).
Particulièrement pertinent en cas de système de ventilation double flux.

Pour en savoir +

PROMEVENT - Guide d'accompagnement du protocole Promevent (ADEME, décembre 2016) - Mesures de perméabilité à l'air des réseaux de ventilation
DIAGVENT - Guide pratique pour le diagnostic des installations de ventilation dans les bâtiments résidentiels et tertiaires (ADEME, CETIAT, 2005).
Guide Étanchéité des Réseaux Aérauliques (CETIAT, juin 2012)
FD E 51-767

Evaluer le niveau de perméabilité à l’air du réseau de ventilation existant (selon les résultats, peut permettre de déterminer les actions correctives à réaliser).
En cas de système simple flux par extraction, une mauvaise perméabilité à l’air impacte la performance énergétique du système.

Pour en savoir +

PROMEVENT - Guide d'accompagnement du protocole Promevent (ADEME, décembre 2016) - Mesures de perméabilité à l'air des réseaux de ventilation
DIAGVENT - Guide pratique pour le diagnostic des installations de ventilation dans les bâtiments résidentiels et tertiaires (ADEME, CETIAT, 2005).
Guide Étanchéité des Réseaux Aérauliques (CETIAT, juin 2012)
FD E 51-767

Vigilance sur l’impact potentiel des travaux sur les transferts d’air (remplacement de menuiseries extérieures munies d’entrées d’air, conservation du détalonnage des portes en cas de remplacement des blocs-portes, mise en oeuvre d’un nouveau revêtement de sol, etc.).

Pour en savoir +

Guide Qualité de l'Air Intérieur (FFB, avril 2017).
Guide Changement de fenêtres et ventilation (FFB, 2016).
Guide de la Qualité de l'Air Intérieur en phase travaux (FFB et CAPEB Pays de la Loire, octobre 2014).
Article Qualité Construction N°112 - janvier/février 2009 pp 31-36 "Mieux ventiler dans l'existant : méthodologie et diagnostic".
Plaquette AQC " Rénovation thermique performante par étapes - changement des équipements " (AQC, 2015)
Plaquette AQC " Rénovation thermique performante par étapes. Comment garantir un résultat global performant et durable ? " (AQC, 2015)
Plaquette AQC " Rénovation thermique performante par étapes - changement des menuiseries " (AQC, 2015).

En cas d’inoccupation : possible pendant toute la durée des travaux.
En cas d’occupation : possible sur des périodes de temps très courtes (dans le cas de l’exécution de tâches pouvant conduire à des émissions de poussières).

Mettre en place des protections à l’aide de films plastiques.
En cas d’inoccupation : à réaliser pendant toute la durée des travaux.
En cas d’occupation : possible sur des périodes de temps très courtes (dans le cas de l’exécution de tâches pouvant conduire à des émissions de poussières).

Réaliser les diagnostics relatifs à l’environnement immédiat, et intégrer les dispositions nécessaires en phase chantier

Réaliser les diagnostics du bâtiment existant, et intégrer les dispositions nécessaires en phase chantier.

Prévoir une organisation de chantier adaptée dès la phase de conception.

Réaliser une réunion de préparation de la phase chantier en fin de conception.

Intégrer les exigences QAI au Dossier de Consultation des Entreprises.

Le cas échéant, prévoir la consultation de prestataires extérieurs pour la réalisation des tests et contrôles.

Réaliser des réunions de sensibilisation/information des entreprises intervenant sur le chantier.

Réaliser des réunions spécifiques au système de renouvellement d’air en phase chantier.

Préparer la phase de réception en cours de chantier.

Remettre un document de sensibilisation de la QAI aux futurs occupants.

Mesurer le taux d’hygrométrie intérieur, à partir du hors d’eau/hors d’air

Réaliser des mesures de QAI en phase chantier, à partir du hors d’eau/hors d’air

Réaliser des mesures de QAI à la livraison du bâtiment

Actions correctives à mettre en place en cas d’apparition de moisissures

Action corrective : nettoyage des réseaux en fin de chantier

Signalisation de la zone travaux

Assurer le suivi des matériaux et produits prescrits aux CCTP

Pour les produits non prescrits : sélectionner des produits peu émissifs

Proposer des alternatives aux produits fortement émissifs : recours à des procédés mécaniques, finitions en usine, etc.

Respecter les doses prescrites sur les produits d’entretien

Respecter les doses prescrites lors de la réalisation des mélanges (colles, mortiers, etc.)

Rappeler l’interdiction de fumer sur les chantiers

Stocker les matériaux et produits émissifs dans des espaces adaptés : définir des espaces dédiés, ventilés et à l’abri de l’humidité. Vérifier les conditions hygrothermiques.

Protéger/stocker les matériaux poreux dans des espaces adaptés : définir des espaces dédiés, à l’abri de l’humidité. Vérifier les conditions hygrothermiques et l’absence de sources de polluants.

Retarder la mise en œuvre des matériaux poreux

Retarder l’entrée des occupants dans le bâtiment

Réaliser une surventilation en fin de chantier

Limiter l’impact des découpes, ponçages, perçages, rabotages :- réaliser des plans de calepinage soignés,- définir une zone dédiée pour la réalisation des découpes/rabotages.

Eviter la réalisation de soudures ou coupages plasma/laser/oxycoupages sur chantier

Utiliser des équipements munis d’aspirateurs intégrés

Identifier la présence de produits ou matériaux dégradés ou fortement émissifs (COV, fibres, particules, moisissures)

Caractériser les facteurs d’émission des produits de second œuvre conservés

Isoler les zones occupées des zones travaux

Protéger les zones occupées lors de l’acheminement des gravats suite aux travaux de démolition/démontage

Utiliser des outils et produits décapants adaptés (à faible teneur en COV)

Prévoir si nécessaire une reprise des supports au CCTP

S’assurer que les supports sont secs et sains avant la mise en œuvre des revêtements de sol, peintures, etc.

S’assurer de la compatibilité des différents produits utilisés

Protéger l’ameublement existant

Protéger les matériaux poreux par des films plastiques

Le cas échéant, nettoyer (si possible) et désinfecter les surfaces endommagées par des contaminations fongiques visibles

Réaliser un nettoyage de chantier régulier

Raccordement à un système de collecte des eaux pluviales ou d’infiltration éloigné du bâtiment

Respect des règles de mise en œuvre et du planning de chantier

Prendre en compte les temps de séchage dans le planning de chantier

Prévoir une organisation adaptée dans le cas de la mise en œuvre d’une chape.

Réaliser les tests d’humidité demandés aux DTU

Vérifier et identifier le comportement hygrothermique des parois

Soigner la mise en œuvre des isolants et du plan d’étanchéité à l’air de l’enveloppe

Prévoir un stockage adapté des matériaux sensibles à l’humidité

Protéger des intempéries les éléments de structure bois, murs ossature bois et isolants lors des phases d’acheminement, de stockage et de mise en œuvre

Protéger les matériaux mis en œuvre

Respecter les temps de séchage avant la mise en œuvre des matériaux sensibles à l’humidité

Réaliser un diagnostic humidité avant toute intervention et déterminer la(les) source(s) éventuelle(s) d’humidité.

Vérifier et identifier le comportement hygrothermique des parois à recouvrir ou isoler

Protéger les équipements techniques (CTA, caissons, etc.)

Recourir à des gaines nettoyées et encapuchonnées en sortie d’usine

Recourir à des gaines nettoyées et encapuchonnées en sortie d’usine

Protéger les réseaux et bouches sur chantier

Protéger les réseaux et bouches sur chantier

Privilégier les conduits rigides

Privilégier les conduits rigides

Mettre en place des conduits circulaires ou oblongs

Mettre en place des conduits circulaires ou oblongs

Vérifier la compatibilité entre les différents composants du système de ventilation

Rendre accessible les équipements et l’ensemble des réseaux de ventilation

Vérifier la mise en œuvre des réseaux aérauliques

Traiter et contrôler visuellement l’étanchéité à l’air des réseaux aérauliques

Traiter et contrôler visuellement l’étanchéité à l’air des réseaux aérauliques

Réaliser des mesures de perméabilité à l’air des réseaux aérauliques

Réaliser des mesures de perméabilité à l’air des réseaux aérauliques

Vérifier le traitement acoustique du système de ventilation

Positionner l’ensemble des éléments de façon à assurer un bon balayage des pièces

Respect des règles de l’art dans le cas d’une production de chaleur par un équipement à combustion

Respect des règles de l’art dans le cas de la mise en œuvre d’un système de climatisation

Respect des règles de l’art dans le cas de la mise en œuvre d’un puits climatique aéraulique

Contrôler le bon fonctionnement du système de ventilation en fin de chantier

Réaliser des mesures de débits et pressions aux bouches de ventilation

Changer les filtres, le cas échéant, avant la réception.

Identifier le type de ventilation et les différents éléments participant à son bon fonctionnement